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Wednesday, March 28, 2007

Nos mémoires à Jogja


Jogja, Java, les mémoires :
On marchait le soir sous la pluie
Après que la plus forte embrassade a été finie,
Les deux corps se mouillaient, c’était en janvier,

On a passé des beaux moments :
Gamelan jouait la chanson de la vie
Mon amour, on dansait
En faisant tout à fait une seule ombre
Sur le vieux mur de ma chambre

Regarde la pluie, surtout les soirées de janvier
La rue est humide, le nuage est noir
Cette ville me cloue toujours à nos mémoires
L’attente ne sera pas longue ?

(Tu reviendras ?)

Ce poème a gagné 1er prix dans le cadre de printemps de poètes 2006 au CCF Jogja et est paru dans Voila.

Dedie pour JK en australie

Tuesday, March 27, 2007

L'echec m'a suivi...


Thursday, March 15, 2007

Le Chuchotement de Sable « l’esprit féminin de Java »

Un film de Nan T Achnas, avec Christine Hakim, Dian Sastro, et Slamet Raharjo. 2001




Une jeune fille villageoise qui s’appelle Daya est en train de chercher son identité dans la vie. Dans sa solitude, elle croit qu’elle entend toujours le chuchotement de sable : ses amis pendant la journée.

Elle vie seulement avec sa mère. Son père ne s’occupe pas d’elle depuis son enfance. Il a quitté la maison sans aucune raison et ne les jamais revues. Autre fois quand elle était petite, le père a été un très bon conteur d’histoires. La fille était très fière de lui. Il lui a dit qu’un jour le vent les réunira. Cette fille le garde toujours comme ses mémoires.
Sa mère, Berlian, travaille beaucoup et lutte pour la vie. Elle est seule à s’occuper de sa fille et ne vit que pour elle. C’est pourquoi elle est trop possessive. Elle lui témoigne trop d’intérêt. Ces yeux sont fixés sur les moindres mouvements de sa fille. La mère travaille comme vendeuse de médicaments traditionnelle « Jamu » et parfois aussi, elle aide la sage-femme. Comme elle voit qu’il y a beaucoup de cas d’avortement des jeunes filles, elle devient si protectrice à sa fille.

Elles habitent au bord de la plage et près d’une maison close. La mère ne permet jamais sa fille de parler même un petit peu avec les prostituées. Puis un jour, la violence frappe le village. De temps en temps, il y a de gens qui sont morts assassiné. L’assassin aussi met le feu à ce village. C’est pourquoi qu’elles doivent déménager. La vie est vraiment dure pour ces deux femmes, d’ailleurs le père reste introuvable.
La recherche d’un endroit plus calme est commencée.

La vie continue, la mère recommence son travail des qu’elles ont trouvé le village. Daya s’adapte ensuite à tout ce qui est nouveau autour d’elle. Tout est neuf, sauf le sable. Elle a encore du sable même si elle habite éloigné de la mer. Et elle entend toujours le sable qui murmure jusqu’un jour elle se rencontre une amie à son age. Mais cela ne dure pas long, son amie qu’elle aime beaucoup est partie pour toujours.
Le père revient un jour. Sa fille le reconnaît, mais en revanche sa femme n’accepte pas son retour. Même si enfin, sa femme se résigne à sa présence….c’est comme les femmes javanaises. Sa fille est vraiment contente de le revoir et revivre tous ensemble. Malheureusement, le père puis vend sa fille pour la monnaie…..
Mis en image par une femme (Nan T Achnas), ce film exprime des idées féminines et a remporté des prix par exemple La meilleur actrice pour Dian Sastro lors de festival du film asiatique de Deauville en 2002. Il a gagné aussi Best Cinematography Award, Best Sound Award et Jury's Special Award For Most Promising Director au Festival du Film Asia Pacific en 2001 (djaya)



NB. ce film devient "tanda mata" pour mes amis etrangers que je connais en indonesie. Malheuresement il y a 3 mois, c'est presque impossible de retrouver le VCD origanaire. y a quelqu'un qui peux me dire ou je peux acheter?

Tuesday, March 06, 2007

Song For You....

Listen to the melody…Cause my love’s in there hiding

I love you in a place where there’s no space or time
I love you for my life coz you re a friend of mine
And When my life is over
Remember when we were together

I’m alone now and i’m singing my song for you…

Huh !
Feel good, after so many « disaster » in my life.. ..
Seminggu-an aku lupa sama skripsi, parler français, cher amis and other things in Yogya. Yang ada hanya ketakutan dan tangis ( aduh, airmata ini, seems there are no God in my heart), rasa hampa, tapi rasa cinta makin tumbuh dan mengikis kotoran batinku.

Bapak sakit. Adikku juga sakit. Aku di rumah sakit, 30 meter dari kamar mayat yang ku yakini Jarot was there untuk terakhir kalinya. Mati rasa. Bahkan tiap ada bunyi kereta dorong, dengan sesosok tubuh diselimuti dari ujung kepala hingga kaki...haru hatiku,biru kalbuku. Terbayang sahabatku terbaring disana.

Bapak sudah sembuh, adik juga. Hangat yang makin menipis lantaran jiwa tersayang pergi, kubawa ke Yogya. Hangat itu kucoba ku pupuk dengan sisa rasa yang ada.Cinta, untuk yang bukan milik kita...sewaktu-waktu Dia mengambilnya....


And now i am so much better..